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Ville de Marseille
Notre Dame de la Garde Marseille

Basilique Notre Dame de la Garde Marseille
La Basilique Notre-Dame de la Garde domine la ville de Marseille.
Une petite chapelle sur une colline
E n 1214 – année de la bataille de Bouvines et de la naissance du roi saint Louis -, un prêtre de Marseille, prénommé Pierre, fit édifier un petit sanctuaire dédié à la Vierge Marie sur le triangle rocheux constituant le haut d’une colline de 161m face à la ville de Marseille, alors très petite.
La colline s’appelant « La Garde », le sanctuaire fut tout naturellement appelé Notre-Dame de la Garde.
A l’origine de cette chapelle, il n’y a donc eu ni apparition, ni miracle : elle est née de la dévotion d’un prêtre.
En 1477, elle fut un peu agrandie. Mais elle restait très petite, pouvant contenir au plus cinquante à soixante personnes.
Au XVIe siècle, la chapelle est englobée dans un fort
En janvier 1516, après sa célèbre victoire de 1515 à Marignan en Italie du nord, le jeune roi François Ier passa pour la première fois à Marseille où le rejoignirent d’ailleurs son épouse et sa mère.
La construction d’un nouveau sanctuaire (1853-1897)
En 1851, les Administrateurs de Notre-Dame de la Garde demandèrent au Ministre de la Guerre – sans trop espérer d’ailleurs une réponse positive - l’autorisation de démolir la petite chapelle et de la remplacer par un sanctuaire plus grand surmonté d’un haut clocher : comme la chapelle, ce nouveau sanctuaire se trouverait, lui aussi, à l’intérieur du fort. Malgré les objections de certains officiers qui craignaient que la structure du nouveau sanctuaire ne nuise à la valeur défensive du fort, les conseillers du Ministre émirent un avis favorable et celui-ci donna son accord le 5 février 1852.
1941 : l’évêché de Marseille devient propriétaire du haut de la colline
C’est le 21 juillet 1941 que, devant le Préfet des Bouches-du-Rhône, l’acte d’échange fut signé par des représentants de l’Etat et par Mgr Louis Borel qui était tout à la fois Vicaire général du diocèse et recteur de Notre-Dame de la Garde. La France était alors gouvernée par le Maréchal Pétain, mais, en l’occurrence, il ne s’est nullement agi d’une faveur octroyée par le Gouvernement.
En effet, l’acte d’échange était prêt en 1939, donc sous la Troisième République, et la signature aurait dû intervenir alors. Mais une nouvelle guerre mondiale venait d’éclater et cette affaire qui paraissait bien secondaire se trouva renvoyée à plus tard. Ce jour-là, l’Etat donna au diocèse les 61 839 m² du haut de la colline et reçut de l’évêché une maison de deux étages sise dans l’impasse Montevideo, d’une superficie totale de 1 380 m², ainsi qu’une somme de 35 000 F. Contrairement à ce que l’on est tenté de penser, l’Etat ne perdait pas au change, car, le site étant classé, les terrains du haut de la colline de la Garde n’ont aucune valeur vénale. L’Etat a même été très bénéficiaire puisqu’en 1970 il a pu revendre très cher à un promoteur la petite maison de l’impasse Montevideo qui se trouva remplacée par un immeuble de plusieurs étages. 
 MARSEILLE 2600 ans d’histoire
Marseille est la plus ancienne ville de France. Son architecture actuelle et sa population sont le reflet de 2600 ans d’histoire. Les richesses de son patrimoine assurent aujourd’hui encore et pour les générations futures, la pérennité du lien qui existe avec ce passé foisonnant.
Ville d’accueil et d’immigration du berceau méditerranéen, Marseille s’est au fil du temps constituée une identité forte bénéficiant d’une culture plurielle. Au cours des périodes glorieuses et prospères comme des phases de crises, la Ville et ses habitants ont fait preuve de résistance et de réactivité.
Souvent caricaturée, Marseille a toujours suscité un intérêt particulier et stimulé l’imaginaire des français. La Ville est fière de sa différente et de son appartenance identitaire forte, résultats de son histoire exceptionnelle.
Aujourd’hui, la cité phocéenne revendique sa place de deuxième ville de France et de métropole de Méditerranée.
Le XXe siècle : De la modernité à l’Europe
En à peine un siècle, Marseille voit sa population quintupler (500 000 habitants autour de 1900). La Ville reçoit des flots continus de nouveaux arrivants, attirés par son intense activité. Certains ne font que passer tandis que d’autres s’y installent. Parmi les nouveaux habitants de la cité phocéenne, les plus nombreux sont les italiens.
Durant la seconde moitié du XIXe et la première moitié du XXe , ces derniers occupent les professions du bâtiment et de la construction (maçons, plâtriers, carreleurs). Puis c’est le tour des arméniens qui se réfugient sur Marseille dans les années 1915-1920. Dans la seconde moitié du XXe, entre 1950-1970, la région marseillaise attire en masse les travailleurs d'Afrique du nord, de Turquie et d'Asie.
Malheureusement, la seconde guerre mondiale a profondément atteint Marseille. La destruction des vieux quartiers entraîne l'évacuation de milliers de personnes. La seconde moitié du XXe siècle constitue un tournant et le déclencheur de profondes mutations.
La perte des colonies (Indépendance de l'Algérie en 1962) et la fermeture du canal de Suez (1967) engendrent le déclin des activités classiques de négoce et d'industrie de Marseille. Le chômage est l’une des conséquences économiques directes de cette période de crise. C’est le pétrole qui rendra par la suite à Marseille son rang de 2ème port d'Europe.
Dans les années 1980, Marseille se tourne délibérément vers la modernité et l’avenir. La commune se lance alors dans de grands projets pour redonner vie et dynamisme à son cœur très appauvrit. Elle construit alors le technopôle de Château Gombert, 2eme pôle scientifique français.

Euroméditerranée est le grand projet de la fin du XXe siècle. Il s’agit d’un aménagement urbain, orienté vers le développement économique entre le port et le centre-ville, et visant à faire de Marseille un grand carrefour entre l'Europe et la Méditerranée (pôle sud européen de promotion et de valorisation des échanges).
En 1999, un an avant de changer siècle et de millénaire, Marseille créé la Communauté Urbaine « Marseille Provence Métropole », offrant ainsi la possibilité à 18 communes de l'agglomération marseillaise de se regrouper et de s’unir.
Au XXIe siècle, Marseille continue sur sa lancée de modernisation et d’ouverture à l’Europe et au monde. La ville se développe au niveau culturel et sera en 2013 Capitale Européenne de la Culture.
De nombreux projets sociaux, culturels et d’aménagements voient le jour un peu partout à travers la Ville faisant aujourd’hui de Marseille la Métropole du Bassin Méditerranéen.


Région PACA
Provence-Alpes-Côte d’Azur, une autre économie est possible
Plus respectueuse de l’homme et de son environnement, l’économie sociale et solidaire fait son chemin. Avec 12% des emplois en Provence-Alpes-Côte d’Azur, elle concourt à une plus grande justice sociale.


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